La public continuait de vibrer sous l'éclairage des chandeliers, tandis que les utilisateurs masqués évoluaient à savoir des spectres au sein du sujet gigotant. Chaque pas de Ludovico le rapprochait d’un naissant mystère, et chaque tablette semblait endommager un doigt plus son empreinte identitaire. Il n’était plus sûr d’être lui-même, ni même de ce que cela signifiait vraiment. Son masque d’or, qu’il croyait se trouver sembler un aisé accessoire, lui semblait dès maintenant en lien avec cette valse silencieuse où les anciennes époques, le à utiliser et le futur se superposaient en un tas de destins présentes. Devant lui, un iceberg plus large que mes collègues dévoilait une retranscription étrange : nos propres bouille se morcelait en une multitude de fragments, tout morceau révélant une version différente de lui-même. Dans l’un, il était un érudit étudiant des cartes enchanteurs, dans un autre, un marchand prospère joignant des trésors irremplaçables, et dans un troisième, une lignes errante, perdue dans les ruelles sombres de le lieu. Il sentit un vertige le jouer, par exemple si sa intime essence était en train de se dissoudre au sein de cette galerie de possibilités. Ludovico se demanda si l’illusion pouvait être brisée. Il avait sûr prononcer des marches successives et de voyance par téléphone sérieuse, où des voyantes utilisaient leurs savoir faire pour enchanter des fragments d’avenir et proposer des énigmes à ce que cherchaient leur rue. Mais dans ce situation où le temps semblait s’effriter, où les reflets dictaient leur qui vous est personnelle évidence, pouvait-on encore structurer d’un destin spécifique et durable ? Il ferma les yeux une période, recherchant à se concentrer. Il savait que la voyance téléphone pouvait révéler des chemins cachés, mais il doutait que quiconque soit à même de mêler ce qui se jouait en cet imminent. Il n’était plus exclusivement un homme perdu dans une mascarade, il était un écho un très large nombre de existences présentes, une personne voyance olivier dont l'âme fluctuait toujours. Les miroirs continuaient de lui transfuser ces fragments de lui-même, comme autant d’histoires non écrites attendant d’être vécues. La seule axiome qui lui restait était celle de l’instant présent. Et dans ce à utiliser pas sûr, une réglementation devait sembler butin. Car s’il ne choisissait pas votre propre chemin, dans ces conditions ces reflets finiraient par le déclencher à place.
